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Travaux en volume
Eva DEYRES (Terminale spécialité arts plastiques -Lycée Vincent d'Indy de Privas), Gardien déchu, 2023, sculpture et assemblage argile, bois, fil de fer, 30 x 30 x 30 cm.
" Ma réalisation représente un robot laissée à l'abandon dans une habitation délabrée par le temps. La nature reprend ses droits sur la technologie. Les deux se mélangent dans la sérénité. "
Chloé ARAQUE (Première arts plastiques - Lycée Louis Feuillade de Lunel), livre pop-up, environ 20x30 cm
" J’ai voulu hybrider un livre, en m’inspirant du principe du livre pop-up.En l’ouvrant nous sommes
plongés dans un décor fantastique, comme ceux des contes pour enfant, où sont représentés des
figurines, des animaux hybrides avec la nature dont leur reflet dans un lac montre leur vrai visage dans la
vie réelle. "
plongés dans un décor fantastique, comme ceux des contes pour enfant, où sont représentés des
figurines, des animaux hybrides avec la nature dont leur reflet dans un lac montre leur vrai visage dans la
vie réelle. "
BOUDET Zoé (Première spécialité arts-plastiques, lycée Jean Moulin, Langon), Vestige océanique, 2023. sculpture en papier aluminium et fil de fer recouverte de pâte polymère, cristaux, coraux, nacre, pierres, divers éléments organiques et résine polymère. Socle en bois. 15 X 15x 26 cm.
La sculpture met en scène une femme qui semble avoir été fossilisée. Elle se tient sur une jambe, tandis que l’autre est brisé à partir du genou ces bras le sont également. L'ensemble de son corps est orné de coraux, de nacre, de végétation, d'algues, de coquillages et de pierres qui semblent avoir prit entièrement possession d’elle. La sculpture est encapsulée dons un cube de résine qui donne d’un environnement aquatique. La femme semble avoir été figée dans le temps, capturée au moment où la nature prend possession d'elle. Les brisures et les fractures de son corps semblent symboliser le processus irréversible du temps qui transforme, façonne et recouvre tout sur son passage.La femme fossilisée devient le témoin de cette lutte, soulignant le paradoxe de la coexistence entre l'humanité et son environnement naturel.
Zack GUINY (Troisième – Collège Saint Joseph de
Nay), Sans titre, 2023, feutrine sur carton, corde, acrylique et encre de Chinesur bois, verre, scotch,plastique, fil de fer,
26 x 7 x 15 cm
" En transformant des notes de musique en formes colorées, Zack Guiny nous
donne à voir un nouveau type de partition. Plus de points noir et blanc figés
sur une grille froide et rigide, mais de joyeux objets dansant grâce à l’action
du spectateur. Volontairement rendu visible, le système mécanique renvoie
aux œuvres de Jean Tinguely. "
donne à voir un nouveau type de partition. Plus de points noir et blanc figés
sur une grille froide et rigide, mais de joyeux objets dansant grâce à l’action
du spectateur. Volontairement rendu visible, le système mécanique renvoie
aux œuvres de Jean Tinguely. "
Tia THURY-BOUVET
(option arts plastiques 5ème - Collège de l’Eyrieux, St Sauveur de Montagut),
Technohomme, 2023, Sculpture en plâtre et matériaux divers, 15 x 17 x 26 cm.
J’ai fabriqué le portrait d’un homme recouvert de pièces électroniques et de mécanismes. J’ai voulu représenter un homme envahi par la technologie et qui finit par lui-même devenir un robot.
Mina STAIGRE, Justine GROSDIDIER,
Marinela GJERGJI,
(Elèves en Troisième - Collège Pierre Delarbre, Vernoux-en-Vivarais), Nature artificielle, maquette composée de matériaux divers, 24 x 31 x 17 cm.
"
A travers cette réalisation composée de matériaux hybrides, nous avons voulu exprimer de manière subtile l’emprise de l’artificiel sur la nature dans les années futures. "
A travers cette réalisation composée de matériaux hybrides, nous avons voulu exprimer de manière subtile l’emprise de l’artificiel sur la nature dans les années futures. "
Lou DEVENEY (Quatrième - Collège Pesquier de Gardanne), La Carte de mon Monde, 2023, cube papier
7 x 6,5 x 6,6 cm.
Dessiner la carte de son univers, de son esprit. Elle doit décrire la personnalité, rassembler des éléments de sa vie, réelles, imaginaires ou rêvés, personnes, objets et lieux… Tous ces détails sont organisés dans un espace, dans lequel on doit pouvoir circuler, faire des liens. Cet espace est une cartographie, on en fait une lecture.
Les élèves sont invités à faire une création qui se déploie dans l’espace et qui reflète le caractère inconstant et multiple de leur esprit. C’est une carte hybride dans la mesure où elle mélange plusieurs dimensions et qu’elle devient interactive, mobile.
Les élèves sont invités à faire une création qui se déploie dans l’espace et qui reflète le caractère inconstant et multiple de leur esprit. C’est une carte hybride dans la mesure où elle mélange plusieurs dimensions et qu’elle devient interactive, mobile.
Parsa KAMRANZADEH
(Sixième - collège Sophie Germain à Luynes),
La carte du chemin de l’école
2023, Techniques mixyes
30 x 40 x 3 cm.
Comment représenter le chemin entre son domicile et l’école, et comment représenter le parcours qu’on effectue d’une manière sensible ?
L’hybridation consiste à confronter la réalité physique de l’espace traversé avec la réalité subjective d’un sujet se déplaçant dans cet espace. Comment est vécu le déplacement, comment peut-on marquer un point de vue, une ou plusieurs façons de voyager, un état intérieur… ? L’hybridation intervient aussi dans le mélange des médiums : La carte se déploie en trois dimensions, il y a des éléments mobiles ou animés.
Il s’agit également de questionner les élèves sur leur rapport au monde. Que peuvent-ils relever sur un trajet banal, quotidien ?
L’hybridation consiste à confronter la réalité physique de l’espace traversé avec la réalité subjective d’un sujet se déplaçant dans cet espace. Comment est vécu le déplacement, comment peut-on marquer un point de vue, une ou plusieurs façons de voyager, un état intérieur… ? L’hybridation intervient aussi dans le mélange des médiums : La carte se déploie en trois dimensions, il y a des éléments mobiles ou animés.
Il s’agit également de questionner les élèves sur leur rapport au monde. Que peuvent-ils relever sur un trajet banal, quotidien ?
COMBACAL Raphaël , FILARDI CONIO Liam, KADDOUR Ilyes, LEITS Ghizlène, MARQUAND Mathias
(Cinquième - collège Camille Claudel, Vitrolle), La Chimère, 2023, livret numérique
21 x 29.7 cm.
Dans la mythologie grecque, la chimère désigne une créature fantastique ayant une tête de lion, un corps de chèvre et une queue de serpent, qui crache du feu et dévore les humains. Les élèves, ont réalisé leur propre chimère à partir de différentes parties d’animaux choisis avec soin pour leurs différences mais aussi pour leur caractère insolite. L’enjeu était de produire une image cohérente à partir de fragments hétérogènes, de fabriquer une image ayant une dimension fictionnelle. Cette séquence s’inscrit dans la continuité d’une séquence impliquant la pratique bidimensionnelle du collage papier. En engageant les élèves dans l’utilisation d’un logiciel de création numérique, l'expertise se déploie, explorant différentes techniques et formes artistiques. Cette démarche les confronte aux possibilités et aux limites des médiums traditionnels et numériques. De plus, cette séquence participe activement à l'éducation aux images et aux médias. En fabriquant une image à partir de fragments hétérogènes, les élèves affinent leur discernement, et développent le recul critique nécessaire à la compréhension des images.
Travail collectif
(Première spécialité Arts plastiques - Lycée Jean Jaurès de Reims),
Cabaret,
2023, Valise avec trois marionnettes originales (Élise Flamme pour Arès, Enzo Martins pour Enzo et Solen Gautier pour Kodile), croquis de recherche du groupe classe et livre d’or collectif.
Nils BEAUPY et Armel LEROY
(Première arts-plastiques enseignement de
spécialité et option - Lycée Benjamin Franklin d’Auray)
Ecran, 2023, assemblage carton et feutres sur papier
Notre travail est une réflexion sur l’objet informatique et son obsolescence
programmée. Le choix du carton comme matériau pauvre renvoi à son
emballage d’origine mais ce matériau annule la fonctionnalité même de
l’objet. L’écran imite un bug informatique et interroge notre vulnérabilité face à
notre dépendance numérique.
programmée. Le choix du carton comme matériau pauvre renvoi à son
emballage d’origine mais ce matériau annule la fonctionnalité même de
l’objet. L’écran imite un bug informatique et interroge notre vulnérabilité face à
notre dépendance numérique.
Selma KABOUS
(Troisième - Collège Robert Schuman de Mâcon), Radioactif, 2023, argile, peinture, encre, collage.
« Mon travail est une fusion d’une coccinelle, d’un rat et d’une fleur. J’ai voulu donner
l’impression que ses trois êtres vivants auraient été touchés par des substances radioactives qui ont permis l’apparition de cet être hybride. »
l’impression que ses trois êtres vivants auraient été touchés par des substances radioactives qui ont permis l’apparition de cet être hybride. »
Océane PLACQUET (Seconde option arts plastiques - Lycée Albert Sorel de Honfleur
Hipporobot, 2024, argile, bois, cuivre, et métal
" J’ai voulu représenter pour ce projet un hippopotame hybridé avec un robot, Hypporobot de son prénom.
Cette sculpture est faite de différente matériaux : cuivre, ressorts, engrenages, et fils de fer pour représenter le corps robotique et l’argile et le bois pour le corps hippopotame.
Lorsque j’ai débuté le projet, l’argile s’est cassée lors du séchage. J’ai dû alors la remplacer par une nouvelle.
Une fois peinte en grise pour représenter la peau de l’animal, l’argile s’est de nouveau fissurée.
Face aux difficultés rencontrées, les idées et le projet ont évolué, ce qui nous amène à cette réflexion :
«L’hipporobot n’est-il pas le reflet de la fragilité de l’humanité face à sa robotisation ? »
Cette sculpture est faite de différente matériaux : cuivre, ressorts, engrenages, et fils de fer pour représenter le corps robotique et l’argile et le bois pour le corps hippopotame.
Lorsque j’ai débuté le projet, l’argile s’est cassée lors du séchage. J’ai dû alors la remplacer par une nouvelle.
Une fois peinte en grise pour représenter la peau de l’animal, l’argile s’est de nouveau fissurée.
Face aux difficultés rencontrées, les idées et le projet ont évolué, ce qui nous amène à cette réflexion :
«L’hipporobot n’est-il pas le reflet de la fragilité de l’humanité face à sa robotisation ? »
Siham YOUSFI
(Terminale générale, spécialité et option arts- Lycée Gambetta-Carnot d'Arras), « Mélancorolle » 2024
Peinture acrylique noire, marron et jaune, fils de fer,
journaux, paquets de chips, paquets de préparation de
muffins « McKennedy », sopalins, pot de fleur, mousse
florale, H : 27 cm ; D : 22 cm.
"Dans ma création intitulée « Mélancorolle », j’ai exploré
le concept d’hybridation, symbolisant la fusion entre deux
éléments pour engendrer quelque chose de totalement
inédit. Ainsi, j’ai choisi d’illustrer cette hybridation à travers
un élément naturel, la fleur, conçue à partir de déchets,
représentant ainsi son opposé et donc la pollution. En
reproduisant les caractéristiques d’une fleur naturelle,
comme les tiges et les pétales, mais en utilisant des rebuts,
j’ai cherché à mettre en avant l’impact de l’industrialisation
croissante au cœur de nos sociétés contemporaines.
Entraînant, ainsi, une pollution significative, notamment sur
l’environnement."
le concept d’hybridation, symbolisant la fusion entre deux
éléments pour engendrer quelque chose de totalement
inédit. Ainsi, j’ai choisi d’illustrer cette hybridation à travers
un élément naturel, la fleur, conçue à partir de déchets,
représentant ainsi son opposé et donc la pollution. En
reproduisant les caractéristiques d’une fleur naturelle,
comme les tiges et les pétales, mais en utilisant des rebuts,
j’ai cherché à mettre en avant l’impact de l’industrialisation
croissante au cœur de nos sociétés contemporaines.
Entraînant, ainsi, une pollution significative, notamment sur
l’environnement."
Capucine RIALLAND
(Troisième - Collège Sainte-Anne de La Trinité Porhoët),
Architecture, 2023/24, collage, cartes marines,16,2 x 15,4 cm
" Mon travail est inspiré des maquettes des cités anciennes. Je voulais créer un fragment imaginaire de vestiges architecturaux."
Loris DEBAR
(Quatrième- Lycée François 1er de Vitry-le-François),
Triade animale : l’union insolite, 2023-2024, Sculpture, Techniques mixtes : pâte à modeler, feutrine, plumes, matériaux de récupération, peinture acrylique,
La base de mon volume (corps, tête et pattes) a été réalisée avec de la pâte à modeler, sur laquelle je suis venu fixer divers matériaux, afin de travailler la notion d’hybridation,
caractéristique centrale du projet.
Les ailes, réalisées en feutrine, sont modulables grâce à une
structure intérieure en fil de fer. Ainsi, je peux faire varier la
posture de ma créature, qui semble prendre son envol. Afin de leur donner un effet plus réaliste, j’y ai collé des plumes. J’ai bombé le tout à la peinture noire. Ma créature porte une couronne, obtenue grâce à un empilement de capsules métalliques de bouteilles.
caractéristique centrale du projet.
Les ailes, réalisées en feutrine, sont modulables grâce à une
structure intérieure en fil de fer. Ainsi, je peux faire varier la
posture de ma créature, qui semble prendre son envol. Afin de leur donner un effet plus réaliste, j’y ai collé des plumes. J’ai bombé le tout à la peinture noire. Ma créature porte une couronne, obtenue grâce à un empilement de capsules métalliques de bouteilles.
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